Tourisme dans l'Aisne

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Saint-Quentin, Ville d'art et d'histoire

Vidéo de Saint-Quentin

 

 

Avec son ancienne Collégiale devenue Basilique, son Hôtel de Ville de style gothique flamboyant, ses façades Art Déco et ses souterrains la ville offre une alchimie exceptionnelle dans la diversité de son patrimoine.

Visiter autrement, remuer lors d’un concert ou tout simplement flâner sur un marché… Les fêtes et manifestations sont nombreuses sur la destination Saint-Quentinoise…
Retrouvez l'agenda de la ville sur www.destination-saintquentin.fr

 

Parc d'Isle

Parc d isle

Notre camping se situe à 10 mn de Saint Quentin et du Parc d'Isle véritable oasis de loisirs. Découvrez son parc animalier, sa réserve naturelle, son Jungle's Café, ses aires de jeux...
Le Parc d'Isle est gratuit et vous accueille toute l'année !

Parc d'Isle

Village des Métiers d'Antan & Musée Motobécane

Visitez l'extraordinaire « Village des Métiers d'Antan » implanté dans l’ancienne usine Motobécane pour découvrir ou redécouvrir métiers et activités d’autrefois derrière d’authentiques façades rénovées. Un village dont la richesse culturelle et la beauté d'antan vous permettront de vivre ou de revivre une époque pas si lointaine.

Basilique de Saint-Quentin

Basiliquestquentin

Ne manquez pas de visiter l’ancienne collégiale, devenue basilique en décembre 1876. Elle apparaît majestueusement aux visiteurs, promeneurs, pèlerins dès qu’ils approchent de la ville. C’est le plus vaste édifice religieux de Picardie après la cathédrale d’Amiens. La basilique de Saint-Quentin reflète la puissance du pouvoir ecclésiastique.

source : encyclopedie.picardie.fr
Crédit photo : Rolf Kranz

Office de Tourisme de Saint-Quentin

Plus d'infos sur le site de : 

l'Office de Tourisme de Saint-Quentin
3 rue Emile Zola - 02100 SAINT-QUENTIN
Tél : 03 23 67 05 00
E-mail : tourisme@saint-quentin.fr
Site web : http://www.saint-quentin-tourisme.fr/

 

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Notre commune d'Homblières

Un joli parc boisé, un petit cours d’eau, la noblesse d’un portail, témoin d’une abbaye et d’un château disparus, une église vénérable et un vieux presbytère sur le chemin de l’armistice, des fermes anciennes et des maisons de tisseurs…voici décrit en quelques mots le patrimoine naturel et historique d’Homblières.

Selon la tradition, c’est vers 650 que saint Eloi, évêque de Noyon, fonda une abbaye dans ce vallon humide et boisé. Ce monastère, peuplé d’abord de moniales, fut illustré par une sainte femme, Hunégonde, qui en devint abbesse (entre 672 et 690). La naissance du village peut être datée de cette époque.

En 948, les religieuses furent remplacées par des moines bénédictins. Sous la protection des papes, des rois de France, des comtes de Vermandois et autres seigneurs, l’abbaye royale Notre Dame d’Homblières connut prospérité et notoriété. Les reliques de Sainte-Hunegonde, qui avaient été placées dans une châsse dès 948, furent mises à l’abri derrière les murailles de Saint-Quentin pendant les périodes troublées (guerre de Cent Ans), puis revinrent au village en 1679.

L’église paroissiale actuelle, dédiée à saint Etienne, est une reconstruction, en 1634, d’une église beaucoup plus ancienne, malmenée au cours des siècles.

 

A la Révolution, l’abbaye fut vendue comme bien national et transformée en carrière de pierres. A son emplacement sera construit, à l’époque napoléonienne, un château bourgeois dont les propriétaires vont remanier le porche d’entrée de la défunte abbaye.

Le village bruissait autrefois du « tipe-tape » des métiers à tisser ou à broder installés dans les caves voûtées des maisons. On remarque encore les emplacements, aujourd’hui murés, des « blocures », ces larges ouvertures qui permettaient d’éclairer le travail des ouvriers.

A la Grande Guerre, le village fut occupé par les Allemands. Ceux-ci élevèrent dans le bois du Parc, un monument à la mémoire de leurs camarades tombés en 1917, sur la ligne Hindenburg. Lors de leur repli, en octobre 1918, le château fut détruit par une mine.

Dans la nuit du 7 au 8 novembre 1918, les plénipotentiaires allemands, en route vers Rethondes pour signer l’armistice, firent une halte au presbytère d’Homblières, devenu le quartier général du général Debeney.

De ce riche passé, subsistent un vénérable portail, une église pittoresque, des caves et des souterrains secrets, ainsi qu’un platane remarquable, planté en 1770, et qui trône au milieu d’un joli parc arboré.

(Source : Agglo du Saint Quentinois)